La cacherouth Un
dossier préparé par K.
Acher
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Miracles en chaîne
Cette
histoire est parue en français dans « le Courrier de la Gueoula
», N° 1116, qui parait à l’occasion du 1er Yortsait
du Rav Pinhas Pachter infatigable soldat du Rabbi en France, créateur
de la publication. La traduction est probablement de lui même. Nous
avons gardé le titre qu'il avait donné à l'histoire La première partie de ce récit miraculeux a
été racontée et enregistrée en vidéo par
la production de «Jem» dans sa série de miracles du Rabbi,
racontés par les protagonistes eux-mêmes. Celle-ci est relatée
en 5772 (2012) par le Rav Yekoutiel Farkach de Yérouchalaïm, dont
l’autorité Rabbinique dépasse le cadre des ‘hassidim
de Loubavitch de la Ville Sainte. http://www.shturem.net/index.php?section=news&id=56897 En
5736 (1976) la fille de Rav Farkach âgée seulement de sept ans,
quittait ce monde après avoir lutté contre une terrible maladie.
A l’issue de la période de deuil et bien que très affectés,
le Rav Farkach et son épouse ont tenu à rencontrer le médecin
qui s’était occupé, avec un dévouement total, de
leur fille. Deuxième partie: Buenos-Aires (Argentine) en 5776
(2016) Le Rav Chnéor-Zalman Farkach, Machpiya (guide spirituel)
à la Yéchiva Loubavitch locale, entre dans l’épicerie
Cachère de sa rue. Arrivé à la caisse, il est salué
respectueusement par le gérant «Bonjour Rabbino Farkach !».
Au même moment, le client qui le précédait et qui finissait
d’emballer ses nombreuses courses, sursauta et le fixa avec surprise
«Êtes-vous le Rav Farkach de Yérouchalaïm ?»
demanda-t-il ! «Non, mais je suis son fils !» répondit
Rav Zalman. «Oh mais quelle surprise ! il faut que je vous raconte mon
histoire!». Un jour, alors que je visionnais "YouTube" je suis
tombé, par hasard, sur une vidéo où votre père
racontait un miracle du Rabbi concernant l’épouse d’un
médecin…. (l'histoire relatée plus haut ndlr). Je réalisais
alors que tout cela n’était pas fortuit, et que le Rabbi s’adressait
à moi aussi, par l’intermédiaire de cette histoire, et
me promettait la guérison si seulement je m’engageais à
manger Cacher...
«Nous ne pourrons jamais suffisamment vous remercier pour tout ce que
vous avez fait pour elle» s’exclama le Rav, «la seule façon
pour moi d’exprimer notre reconnaissance est de partager avec vous ce
que le Bon D-ieu m’a gratifié, mes connaissances dans la Torah».
Ce médecin, loin de la pratique de la Torah et des Mitsvot, fut cependant
attiré par cette «offre» surtout que la proposition portait
sur l’étude de la Kabbalah ou plus précisément,
sur l’ouvrage de base de la ‘Hassidout, le Tanya.
C’est ainsi que chaque lundi soir, le Rav Farkach se rendait chez cet
homme pour y étudier quelques lignes du Tanya. La lumière de
ces enseignements ne tarda pas à produire ses effets, le médecin
commença à se rapprocher de la pratique des Mitsvot et rapidement
pris sur lui la Mitsva des Tefillin.
Cette évolution n’était pas trop du goût de son
épouse, qui n'entendait rien changer à son mode de vie.... Elle
qui se disait totalement «laïque».
Deux ans plus tard, un soir où le Rav se rendait comme chaque semaine
chez ce couple, il remarqua l'atmosphère singulière qui y régnait.
Le médecin lui expliqua que son épouse était tombée
gravement malade, et qu’elle souffrait d’un mal étrange
et inexpliqué. En effet, à chaque fois qu’elle s’endormait,
elle était saisie de très fortes contractions dans tout son
corps, ce qui finit par engendrer chez elle un tel traumatisme, qu’elle
luttait pour ne pas s’endormir. Au bout de quelques jours, elle s’était
tellement affaiblie qu’elle gisait sans force, et cela mettait gravement
sa vie en danger. Étant elle-même assistante du Dr Lavi dans
l’hôpital où exerçait son mari, l’hôpital
«Hadassa- Ein Kerem» de Yérouchalaïm, elle y fut transportée
et examinée par le corps médical, sans qu’aucune explication
ne fut trouvée.
Le Rav Farkach proposa alors d’écrire au Rabbi et le docteur
n’accepta qu’à la condition que son épouse donne
son accord. Celle-ci, avec le peu de force qui lui restait, s’opposa
en arguant que le Rabbi n’était pas médecin et qu’il
ignorait tout de son dossier médical.
Après de multiples palabres où le Rav expliqua la grandeur du
Rabbi et les nombreux miracles qu’il avait fait, et surtout qu’elle
n’avait rien à perdre, une lettre au Rabbi fut rédigée
et envoyée. Le Rav Farkach appela simultanément le secrétariat
du Rabbi et fit la lecture de la lettre.
La réponse ne se fit pas attendre: le Rabbi communiqua ces quelques
mots: «Cacherout des aliments et des boissons, je mentionnerai sur le
Tombeau (du Rabbi Précédent ndlr)».
Rav Farkach était conscient qu’il devait à présent
affronter le plus dur et persuader l’épouse du médecin
d’accomplir ce que le Rabbi lui avait indiqué. Il décida
de ne pas tergiverser et, le soir même, se rendit à leur domicile
afin de leur expliquer qu’il leur fallait changer toute la vaisselle
et réorganiser la cuisine, condition impérative pour recevoir
la Bénédiction.
Après l’accord du couple, Le Rav fit appel au Rav Mondshein,
responsable de la «campagne de la Cacherout» pour la ville de
Yérouchalaïm, qui, le soir même, envoya une équipe
«cachériser» toute la cuisine.
Lorsque Rav Yekoutiel Farkach appela le lendemain, c’est l’épouse
qui prit le téléphone et d’une voix traduisant son émotion,
raconta que cette nuit-là elle avait dormi huit heures d’affilée!
Elle rajouta que le Rabbi était un grand Sage, car il ne lui avait
pas demandé de changer toute sa vie mais uniquement d’accomplir
une seule Mitsva.
Les jours suivants confirmèrent son rétablissement miraculeux
et progressivement cette famille s’engagea sur le chemin de Torah et
des Mitsvot.
C’était en 5738 (1978) et aujourd’hui, (en 5772-2012) témoigna
le Rav Farkach, eux-mêmes, leurs enfants et petits-enfants sont des
gens craignant D-ieu et attachés à la Torah !
https://col.org.il/news/97155
«Mon nom est Israël Hacohen Rein, mais on me surnomme "Miguel"
et j’habite la ville d’Asuncion au Paraguay, à 1200 km
d’ici. L’an passé je suis tombé malade et le diagnostic
des médecins fut sans appel: j’avais la terrible maladie, sans
espoir d’en guérir (que D-ieu préserve). J'étais
désespéré !!!
Voyez-vous, conclut-il, j’effectue régulièrement le voyage
à Buenos-Aires pour m’approvisionner en denrées cachères
et, à la stupéfaction de mes médecins, la maladie a totalement
et miraculeusement disparue !
Dites à votre père que le Rabbi m’a sauvé à
moi aussi !»