La cacherouth Un
dossier préparé par K.
Acher
|
Un Kiddouch Hachem bien récompensé !
Gabi Geuli, propriétaire
d’un bar à la mode de Tel Aviv décida un jour de fermer
Chabbat et délivrer un service cacher exclusif. Traduit de KASHRUS Magazine
N° 208, de juin 2022
Il lui avait fallu des années pour prendre cette décision, sachant
qu’il réalisait ce jour 30% de son chiffre d’affaires.
Mais on ne peut pas entamer un processus de Techouva, incluant tefilin, cours
de Torah, cachrouth, observance du Chabbat tout en restant propriétaire
d’un établissement ouvert le Chabbat.
Sur les conseils de son Rabbin, il partit consulter le Rav Haïm Kaniewski
pour en recevoir une bénédiction.
Lorsqu’il décida de fermer le Chabbat et recevoir une certification
rabbinique pour son établissement, il se prépara à une
baisse conséquente de ses revenus.
Et pourtant dès lors, ses revenus augmentèrent.
"J’ai vécu un vrai miracle!"
Tout ne fut pas simple, car une partie de sa clientèle non religieuse
se détourna de lui, et même appela au boycott.
Dans le même temps, il reçut beaucoup d’encouragements,
y compris de clients qui lui confièrent qu’ils aimeraient eux
aussi ne pas être obligés de travailler Chabbat et pouvoir fêter
le Saint Jour en famille.
Un Kiddouch Hachem, sanctification du Nom Divin, bien récompensé
!